Le Festival National des Arts Populaires (FNAP) célèbre cette année sa 50ème édition, prévue du 3 au 7 juillet prochain.
Evénement majeur de la scène artistique et culturelle nationale, il s’agit néanmoins d’un des plus anciens festivals marocains. Au-delà de tenir encore une édition de cette manifestation qualifiée en soi un patrimoine, le challenge est d’être à la mesure de cette édition anniversaire.
La mobilisation se montre de taille à Marrakech pour réunir toutes les conditions de ce Challenge organisé par l’association le Grand Atlas (AGA) dont le président, Professeur Mohamed Knidri, est le véritable Maître d’œuvre d’exécution et pilote de ce chantier à ciel ouvert. Cette 50ème édition sera le fruit et le résultat d’un travail collectif où tout le monde est impliqué, une exceptionnelle aventure, nous sommes au commencement de quelque chose d’énorme, puisque de nouvelles évolutions pointent sur ce grand évènement Nationale des Arts Populaires, qui se déroulera sur différents sites de cette belle ville ocre. Une grande première pour l’été 2019.
La genèse de cet immense chantier préparatoire, est un univers à part où les organisateurs, dans une dynamique et une joie de vivre communicative livrent ces énièmes expériences avec des mots qui vous donnent l’envie de participer, afin de mieux cerner les mondes artistiques traditionnels ou contemporains qui se sont côtoyés, venus d’horizons différents, depuis des décennies et dotant d’une grande résonnance Internationale l’étoile scintillante de la 50ème édition du Festival National des Arts Populaires (FNAP), qui illuminera les Mille et une nuit de Marrakech.

Un véritable challenge qui nous propose de pénétrer les coulisses du comité d’organisation de l’Association du Grand Atlas (AGA), mettant à l’honneur les métiers de tant de concepteurs et réalisateurs au savoir-faire unique qui travaillent dans l’ombre pour sublimer ce travail géant qui présentera les danses populaires nationales, mais aussi, celles venant d’autres horizons. C’est aussi une entreprise d’envergure, des partenaires d’ici et d’ailleurs qui investissent depuis tant d’années dans ce vaste monde artistique et culturel, qui est à la fois la rançon du succès de tant de Stars nationales et mondiales, leur permettant d’évoluer dans une diversité unique dans son genre, et un climat de tolérance, d’ouverture et de convivialité laissant une TRACE de véritable engagement, grâce à leur performance historique, ce qui leur permet d’égaler leur propres légendes et de la transmettre aux futures générations.
Cette manifestation d’envergure, véhicule l’identité culturelle nationale «homme made for friendship », tout en rencontrant des prestataires du monde artistique, de partager leurs expériences dans l’animation créative et bien contagieuse de ce remue -ménage, où on parle surtout: outils organisationnels pratique et pragmatique, il est surtout question de supports de communication, calendrier, mis en place, maintenance du site d’affichage, certains se donnent le temps de la réflexion et abordent certaines thématiques et comptes rendus à présenter au Président, ils occupent plusieurs postes : chargé de médiation, responsable d’action culturelle, responsable des relations publiques etc. Les structures évidemment sont variées, les réunions ont lieux plusieurs fois par semaine, exposant aussi bien les enjeux et les cas concernant des actions innovantes, qu’il faut absolument apporter à l’attention du public.
Ce travail de grande haleine leur permet d’explorer la diversité des conceptions et des pratiques, afin d’éradiquer tout malentendu lorsque le culturel prend le pas sur l’artistique, il s’agit là d’analyser dans quelle mesure le volet social se développe au détriment ou au contraire de la dimension artistique ou sportive du Projet, ce qui est très important pour l’AGA, qui insiste sur la circulation du processus artistique et d’autres dimensions de la vie sociale.
Un peu partout dans le monde ceci est nettement confronté à certaines tensions croissantes entre parfois des lieux qui se réclament de la dynamique historique et des lieux d’expérimentation et de présentation artistique contemporaine, fortement professionnalisés, l’AGA prend surtout en compte les préoccupations identitaires et culturelles des différents spectacles et de leur fusion, par exemple les costumes traditionnels des artistes et des danses populaires ont toujours suscité l’intérêt du public et contribuent d’ailleurs à son émerveillement, le pourquoi de leur mise en avant à chaque édition du Festival, ils occupent une place importante et offrent par la même occasion comme une vitrine de choix de cette grandiose manifestation culturelle nationale.